• Une pensée pour tous les civils libanais qui n'ont rein demandé ni au Hezbollah, ni à la Syrie, ni à Israël.


    Que l'accusation ci dessous soit vraie ou non, un pays entier est pris en otage par ces trois entités sur lequel il n'a pour son malheur pas de controle. 


     

    AFP 16.07.06 | 19h56
    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Le Liban a accusé dimanche Israël de recourir à des armes prohibées par les conventions internationales dans son offensive déclenchée mercredi contre ce pays.
    Le président Emile Lahoud a jugé que "le bombardement par Israël de villages du Liban avec des bombes incendiaires au phosphore constitue une violation flagrante des conventions internationales qui interdisent le recours à de telles bombes".


    Il a exhorté les Nations unies à "intervenir auprès d'Israël pour mettre un terme à son agression et l'empêcher de recourir à de telles armes qui vont à l'encontre du respect des droits de l'Homme et des principes de la Charte de l'Onu", selon une déclaration distribuée à la presse.
    <o:p> </o:p>Un porte-parole de l'armée libanaise a indiqué à l'AFP que l'aviation israélienne utilise des bombes prohibées internationalement, "des bombes à charges spéciales, qui pourraient être des bombes à implosion, ou bombes à vide" dans son pilonnage de la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah chiite, ainsi que des bombes au phosphore dans son bombardement du Liban sud.
    <o:p> </o:p>Des photographes de l'AFP ont pu voir des immeubles de huit étages et plus dans la banlieue sud, disparaître en cinq minutes dans un nuage de poussière blanche pour ne plus former qu'un amas de débris de quelques mètres.
    <o:p> </o:p>Au moins 20 immeubles, notamment dans les quartiers de Haret Hreik et Bir al-Abed, qui constituent le "périmètre de sécurité" du Hezbollah dans la banlieue, ont été détruits de cette manière, ont-ils estimé.
    <o:p> </o:p>L'armée israélienne a lancé cette offensive destructrice et meurtrière au Liban après que deux de ses soldats eurent été capturé et huit autres tués, par le Hezbollah à la frontière israélo-libanaise, le 12 juillet.


    http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-27692273@7-37,0.html



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